3.52 AVERAGE


Dans ce roman, Ogawa Ito utilise la cuisine comme moyen d'expression des sentiments et des émotions. On le sait en effet, les japonais sont plutôt avares lorsqu'il s'agit de les partager, et Rinco, le personnage principal, ne fait pas exception à la règle, puisque sa pudeur naturelle s'accompagne d'un mutisme total, tout au long du roman. La cuisine devient alors son mode de communication exclusif, et elle va l'utiliser avec beaucoup de douceur et d'affect.
Il s'agit encore une fois d'un beau roman, plein de fraîcheur et de douceur, mais dont les 40 dernières pages m'ont plongé dans un effroi total (je déconseille d'ailleurs aux personnes sensibles d'éviter de les lire), ce qui, je dois bien l'avouer, a quelque peu gâté ma lecture...
Malgré tout, c'est une belle lecture, bien qu'elle m'ait moins touchée que la Papeterie Tsubaki.

L'o iniziato dopo la piacevole lettura di "La cartoleria Tsubaki" e sembrava procedere tutto bene, magari un po' più sottotono ma scorrevole, con l'ambizione di rendere la protagonista un po' una sorta di Vianne di Chocolat in chiave chef (tentativo fallito su tutta la linea), poi da un certo punto la svolta in peggio: cose naif o assurde (come tutta la vicenda della madre), la macellazione della povera Hermès con particolari quasi gore con una sorta di compiacimento... ormai lo finirò, ma potevo evitarmi la lettura molto volentieri, ecco.

Beautiful descriptions of grief and food and change. The first half was beautiful as a woman returns to her childhood home to open an eatery that serves one meal a day and changes lives. The story progresses into an explanation of her relationship with her mother, and includes some very interesting (and even upsetting but poignant) themes.


(Animals lovers beware though).
emotional reflective sad medium-paced
Plot or Character Driven: Character
Strong character development: Yes
Loveable characters: Yes
Diverse cast of characters: No
Flaws of characters a main focus: Yes

Aïe, un de ces romans aguicheurs qu'on aurait ardemment désiré aimer... mais qui se sont avérés tièdes au service. Curieuse fable, imparfaite mais téméraire, qui s'attache à mêler spiritualité, cuisine et épicurisme dans un Japon rural.
Intriguant mais en fin de compte pas rassasiant, puisque l'auteure, qui n'hésite jamais à fleurir ses textes de précisions culinaires savoureuses, ne parvient pas à farcir ses personnages de couleurs et d'émotions, ce qui est, au mieux frustrant, au pire, destructeur en termes d'intrigue et de développement des personnages.
Pour terminer sur une touche sucré, j'ai apprécié et même été franchement étonnée par certaines tournures exquises dont fait preuve Ogawa (à de rares endroits), à l'image de celle-ci: "Comme la pieuvre qui mange ses propres tentacules pour se remplir l'estomac, ou comme le chat qui se lèche les parties génitales, la conscience de ce que je mangeais m'échappait totalement" (page 249).
C'est cet affront au ridicule, et surtout cette science de l'alimentation comme une offrande divine, qui rachètent quelque peu cette histoire délirante.
emotional reflective sad slow-paced
Plot or Character Driven: Character
Strong character development: Yes
Loveable characters: Yes
Diverse cast of characters: No

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C'était une lecture très bizarre mais j'ai bien aimé. C'est fantasque et poétique, mélancolique aussi. Et il y a même un secret de famille!

Too bored to continue :/ 

3,4⭐️

J’ai peut-être lu trop de livres japonais du même style! La magie opère, mais un peu moins
challenging hopeful inspiring reflective sad medium-paced
Plot or Character Driven: A mix
Strong character development: Yes
Loveable characters: Yes
Diverse cast of characters: Yes
Flaws of characters a main focus: Complicated