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adventurous
slow-paced
adventurous
dark
medium-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
Yes
adventurous
challenging
dark
emotional
hopeful
sad
tense
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Complicated
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
Yes
adventurous
dark
emotional
tense
medium-paced
Plot or Character Driven:
Plot
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Complicated
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
Yes
adventurous
dark
reflective
slow-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
No
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
No
The Tower of Swallows is basically a 16 hour chase scene as our main characters search for Ciri before the baddies find her, all the while Ciri, while recovering, tells her story to an old hermit who rescues her. Some of the book was great, dialogue, action, choices, but most was filler. These books would be a thousand times stronger if 50% of the fluff was edited out. (But I think that about a lot of books, and a lot of people don’t agree and love these lengthy tomes for the length and world building and character building.)
I wish Geralt got to spend time actually being Geralt the witcher and being a strong character with an actually essential plot, but he seems so often unnecessary and weak in this book. The politics in this book were also so heavily politicking as usual and making my eyes glaze over in boredom, because there’s war and corruption and factions and who really knows or cares about who is on the good side or bad side when they’re all boring and annoying.
Ciri is awesome of course and this book is heavily centered on her, both her telling her story and on everyone searching for her. Also for my sanity my brain completely tunes out to skim the sexual assault parts because it’s literally just there to be violent and adds zero to the story. I’ll still be reading the final book in the series and hope it’s a great ending with much better pacing that makes all the previous books worth it.
La Tour de l'Hirondelle est le quatrième tome de la saga du Sorceleur, écrite par Andrzej Sapkowski. Plusieurs protagonistes s'inquiètent pour la vie de Ciri, car ils eurent une vision d'elle recouverte de sang. Ainsi, ne sachant si elle a succombé à cette blessure, Geralt est plus que déterminé à suivre son objectif et s'il ne parvient pas à retrouver la jeune fille, il compte bien se venger. Pendant ce temps, Yennefer tente de contrecarrer les plans de la loge pour empêcher les magiciennes d'utiliser le sang ancien qui coule dans les veines de Ciri à des fins politiques. Quant à la source de toute cette agitation, elle n'a pas encore expiré son dernier souffle et se cache dans les marécages de Pereplut où elle conte son histoire à son sauveur, Vysogota.
La Tour de l'Hirondelle est l'avant-dernier volet de la saga, un statut qui explique le rythme ainsi que le contenu du roman. En effet, si les livres précédents enchaînaient les événements plutôt rapidement malgré l'alternance des points de vue, cet opus subit un ralentissement assez conséquent.
Tout d'abord, on peut noter le fait que presque tous les personnages importants apparaissent dans le récit tout en faisant intervenir des inconnus. Ce choix permet bien évidemment d'indiquer la situation de chaque parti avant d'exposer le grand final, cependant l'effet secondaire est que l'histoire s'en trouve un peu plus hachée puisque certains protagonistes s'éloignent du centre d'intérêt général, même si leurs actions y ont une influence indirecte.
Dijkstra est un parfait exemple. Le maître espion se rend à Kovir en espérant convaincre le souverain Esterad d'accorder une aide financière à la Rédanie. Bien qu'il concerne l'aspect politique du roman, puisqu'il s'agit de la guerre où les royaumes du Nord et l'empire nilfgaardien s'affrontent, ce passage ne semble pas lié à la quête qui hante tous les esprits, à savoir retrouver Ciri. Pourtant, la jeune fille est tout de même intelligemment incluse et nous apprend même des informations sur les appartenances politiques du couple royal de Kovir.
Ainsi, ce tome dresse un véritable éventail des alliances de chacun, où l'auteur place petit à petit ses pièces sur l'échiquier et invitant le lecteur à s'imaginer quels personnages se feront face lorsque le feu aura touché la poudre.
Toutefois, pour ne pas perdre l'objectif de vue, Andrzej Sapkowski nous offre une sorte de leitmotiv avec l'histoire de Ciri. La jeune fille était plutôt en retrait depuis son intégration dans le groupe de bandits, mais son arrivée fracassante dans les marécages laisse entendre qu'elle se confronta à un grand danger.
Le récit de Ciri se présente donc sous la forme d'analepses, la jeune fille commence à parler à l'instant présent jusqu'à ce qu'une coupure nous fasse comprendre que la suite du texte est ce fameux souvenir que nous vivons au moment de sa réalisation. Cette décision est la bienvenue puisqu'elle évite d'avoir un trop fort recul par rapport à l'action, nous permettant ainsi de la saisir avec toutes les émotions qu'elle implique. Ces passages se concluent par un paragraphe débutant par :
La Tour de l'Hirondelle est l'avant-dernier volet de la saga, un statut qui explique le rythme ainsi que le contenu du roman. En effet, si les livres précédents enchaînaient les événements plutôt rapidement malgré l'alternance des points de vue, cet opus subit un ralentissement assez conséquent.
Tout d'abord, on peut noter le fait que presque tous les personnages importants apparaissent dans le récit tout en faisant intervenir des inconnus. Ce choix permet bien évidemment d'indiquer la situation de chaque parti avant d'exposer le grand final, cependant l'effet secondaire est que l'histoire s'en trouve un peu plus hachée puisque certains protagonistes s'éloignent du centre d'intérêt général, même si leurs actions y ont une influence indirecte.
Dijkstra est un parfait exemple. Le maître espion se rend à Kovir en espérant convaincre le souverain Esterad d'accorder une aide financière à la Rédanie. Bien qu'il concerne l'aspect politique du roman, puisqu'il s'agit de la guerre où les royaumes du Nord et l'empire nilfgaardien s'affrontent, ce passage ne semble pas lié à la quête qui hante tous les esprits, à savoir retrouver Ciri. Pourtant, la jeune fille est tout de même intelligemment incluse et nous apprend même des informations sur les appartenances politiques du couple royal de Kovir.
Ainsi, ce tome dresse un véritable éventail des alliances de chacun, où l'auteur place petit à petit ses pièces sur l'échiquier et invitant le lecteur à s'imaginer quels personnages se feront face lorsque le feu aura touché la poudre.
Toutefois, pour ne pas perdre l'objectif de vue, Andrzej Sapkowski nous offre une sorte de leitmotiv avec l'histoire de Ciri. La jeune fille était plutôt en retrait depuis son intégration dans le groupe de bandits, mais son arrivée fracassante dans les marécages laisse entendre qu'elle se confronta à un grand danger.
Le récit de Ciri se présente donc sous la forme d'analepses, la jeune fille commence à parler à l'instant présent jusqu'à ce qu'une coupure nous fasse comprendre que la suite du texte est ce fameux souvenir que nous vivons au moment de sa réalisation. Cette décision est la bienvenue puisqu'elle évite d'avoir un trop fort recul par rapport à l'action, nous permettant ainsi de la saisir avec toutes les émotions qu'elle implique. Ces passages se concluent par un paragraphe débutant par :
Si ce jour-là, à la tombée de la nuit, quelqu’un était parvenu à se glisser subrepticement jusqu’à la cabane au toit de chaume pentu et couvert de mousse [...]
Cette phrase peut paraître redondante mais, à la manière d'un compositeur, l'auteur recadre ainsi son récit autour du thème principal de l'histoire, alors que le roman s'éparpille à cause du nombre de personnages dont il faut expliquer la position actuelle.
Par ailleurs, il est intéressant de noter que cette récurrence détonne avec le reste du livre. Ciri et Vysogota sont deux êtres solitaires, réunis dans cette cabane perdue au milieu d'un lieu inaccessible, tandis que les autres protagonistes sont souvent au milieu d'un groupe et dans des endroits plutôt fréquentés. Par ce leitmotiv, l'auteur nous rappelle que Ciri est une jeune fille qui cherche encore qui elle est véritablement et qui ne doit compter que sur elle-même.
La Tour de l'Hirondelle permet également d'étendre un peu plus l'univers avec des destinations qui n'étaient que brièvement évoquées. Les points de vue de Yennefer nous offrent notamment un voyage aux îles Skellige.
De manière générale, les lieux de la série s'inspirent de notre monde. Ainsi, les royaumes du Nord s'apparentent à l'Europe médiévale et peut-être plus particulièrement la Pologne, pays de l'auteur ; tandis que l'Empire de Nilfgaard serait plutôt l'Allemagne de cette Europe d'où peut être tiré la similarité de la particule de noblesse entre le "von" allemand et le "var" dans les romans ; quant aux îles Skellige, il s'agit sans nul doute de l'équivalent scandinave. Les habitants sont davantage des marins que des agriculteurs, écumant les mers sur des drakkars. De plus, leur religion s'apparente à la mythologie nordique, en témoigne cet extrait :
La légende dit que lorsque surviendra Tedd Deireadh, le temps de la Fin, le temps du Froid blanc et de la Tourmente sauvage, Heimdall affrontera les forces hostiles de la contrée de Morhögg, les fantômes, les démons et les spectres du Chaos. Il se tiendra sur l’Arc-en-Ciel et fera retentir le cor pour prévenir son peuple que le temps est venu de saisir les armes et de former les rangs. Alors commencera Ragh nar Roog, la Dernière Bataille, celle qui décidera si tombera la nuit ou pointera l’aube
On peut également noter le rêve de Yennefer qui représente Yggdrasil avec le faucon Vedrfölnir voletant au-dessus, l'écureuil Ratatosk dans ses branches, et le serpent Jörmungand à ses racines. La magicienne, quant à elle, revit l'expérience d'Odin à travers cette illusion, accédant ainsi à l'état d'esprit lui accordant son souhait.
Ces références culturelles enrichissent le roman, tout en inscrivant la saga dans notre propre réalité. Dans cet univers imaginaire, la magie et divers monstres apparurent suite à un événement appelé Conjonction des Sphères. Un portail s'ouvre entre deux mondes, échangeant ainsi ce qui les compose. Avec cet élément, les nombreuses références à notre réalité peuvent trouver une explication intéressante qui s'avère renforcée par Avallac'h sous-entendant que l'envahisseur humain apparut suite à cette Conjonction. Le discours de cet elfe est d'ailleurs aussi comique que dramatique, malgré la pointe d'arrogance venant de son sentiment de supériorité envers les Hommes, et offre une vraie réflexion sur la création et la destruction.
Concernant l'histoire de Ciri, le lecteur ne peut être que ravi de découvrir enfin ses aventures en détails, même si elles demeurent terribles pour une fille de son âge.
Passant par l'épreuve de la douleur et de l'humiliation, frôlant la mort, s'engageant dans la dureté de l'hiver qui se fait précoce, Ciri entrevoit la lumière au bout du tunnel. Ce tome étant une sorte de renaissance pour elle. Terrassant ses opposants, elle devient cette hirondelle annonciatrice de printemps en découvrant une nouvelle parcelle de son pouvoir. Un joli symbole puisqu'elle était traitée comme un chien par le chasseur de primes Bonhart, un de ses poursuivants. Tous ces éléments permettent d'ailleurs de poser des questions sur la nature humaine et sa cruauté.
Finalement, La Tour de l'Hirondelle est un tome qui divisera certainement les lecteurs. Le ralentissement du rythme peut être un frein et il est une fois de plus regrettable de ne pas trouver de carte du monde alors que l'auteur étend davantage son univers. Néanmoins, Andrzej Sapkowski ne nous laisse pas esseulés puisqu'il nous dévoile enfin ce qu'il advient de personnages que nous avions vu en mauvaise posture, comme Yennefer ou Ciri, et nous fait entrevoir l'immense tableau dans lequel se déroulera le dénouement final.
I really liked this. A lot happened, and I loved the way how that was told (often through flashbacks). It worked very well. Maybe a bit too much violence towards little girls for my taste, but that is also part of this world. And I am really curious how it'll continue, especially for Geralt with his new realization.
adventurous
challenging
dark
tense
medium-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
Yes
It seems that I just like to disagree with people, because I actually like this book less than the previous one. Not saying I dislike it, but some choices were made that I wasn't a fan of... I absolutely love the way this book was told though, it's geniously plotted.
Who absolutely shines in this book is Yennefer, I adore that woman. Is she perfect? No, but that makes her a good character. And she is so loyal it hurts - especially when you consider what others think of herMilwa edit: this has been a misunderstanding on my part, but the emotions were real and he did sleep with someone else and Yennefer... I have to say, I really loved Gerald up to this point, but he broke my heart...
I really wish some things happened differently here, but... it's still a great book, all the things I loved in the previous ones are still here and still shining. And I can't wait for the next one...
Spoiler
What I absolutele hate is Cahir's motivations though - it's a bit bordering on creepy for starters, but what's worse I have been shipping him with Milwa. They would be the perfect pair, but no... I just hate the route Sapkowski chose, but he managed to get me to change my mind for several times now, so I hope he has some ace up in his sleeve.Who absolutely shines in this book is Yennefer, I adore that woman. Is she perfect? No, but that makes her a good character. And she is so loyal it hurts - especially when you consider what others think of her
Spoiler
I mean what Geralt thinks of her. How could you? And then you have the contrast in the end when he sleeps withI really wish some things happened differently here, but... it's still a great book, all the things I loved in the previous ones are still here and still shining. And I can't wait for the next one...