Ok, très bonne description de la menace fasciste. Mais comme ça disait "face à la menace fasciste", naïf comme je suis, je pensais que ça allait au moins mentionner des pistes de ce qu'on peut faire contre. C'est presque esquissé dans les 3 dernières pages mais juste pour nous dire que ce qu'on fait ne sert à rien. Lecture passablement frustrante, donc.
C'est un gros bouquin chiant et triste avec des gens chiants et tristes qui baisent de façon chiante et triste et de temps en temps y'a une page avec des trucs marrants.
J'étais tout content d'avoir trouvé un bouquin pour sourcer des biographies de sportives sur Wikipédia. Ensuite, j'étais un peu étonné de voir que les infos étaient souvent déjà présentes sur Wikipédia et que le bouquin n'aidait qu'à les sourcer, pas à en ajouter. Et puis dans la page de Charlotte Cooper, j'ai retrouvé une phrase copiée à l'identique depuis Wikipédia.
Je suppose qu'au moins notre travail sert à quelque chose. C'est quand même dommage de ne pas citer ses sources.
Last night at the Hollywood canteen is less of a thriller, although it's very far from a cozy mystery. It doesn't focus on the crime quite this much, adding a depth of character which is rare for this kind of novel. Also, it's nice to not have the narrator be a (former) cop: she's just a normal crazy ex-girlfriend, moving across the country to spite her famous exes and possibly vaguely stalk them, making friends with absolutely vile socialites, and immediately getting accused of murder while abusing the pills that her employer gives her to make her more productive. Very normal and relatable stuff here.
This novel took me out of a reading slump and I'm very grateful for that. It is definitely one of the best thrillers I've read in the past years, and I recommend it to people who want to read more polyamorous fiction that's not about being poly, more queer fiction, or more crime novels.
Holly est un Stephen King sans fioritures. Il refait ce qu'il sait faire, proprement, sans surprise, et avec son talent habituel.
Holly, c'est un thriller horrifique sans éléments surnaturels, mais avec des anti-vaccins et du COVID à chaque page, et un petit côté « eh mais ce tueur en série est Jordan Peterson » qui saura ravir les amateurs.
Si vous trouvez que c'est très cringe de donner son avis comme ça sur la politique américaine, et d'avoir certains personnages qui ne servent qu'à faire passer un message… ben vous avez raison, mais il le revendique et l'explique dans l'excellente postface du roman, où King explique que s'il n'utilise pas ses romans pour parler de ce qui lui tient à cœur, alors il n'a pas fait son devoir. Je recommande de lire cette postface même si le roman ne vous intéresse pas, la démarche m'a fasciné.
Quant au reste, c'est du Stephen King habituel, avec plus de critique littéraire et de théorie poétique que d'habitude peut-être.
J'ai aussi noté dans mon brouillon « ok j'ai toujours échoué à être une femme alors c'est ptet juste moi mais de carrie à aujourd'hui je me suis rarement senti aussi seen que dans les bouquins de stephen king, il écrit si bien les femmes alors qu'il écrit si mal les femmes jsp », je vous laisse en tirer l'interprétation qui vous sied.