lilymathildea's Reviews (503)

Lore Olympus: Volume One

Rachel Smythe

DID NOT FINISH

I started reading this online, it popped up on a game I was playing I think, and I am always intrigued to read retellings of Persephone (and frankly am still waiting for a decent one).
BUT THIS ! Oh my... it put me off within the first page...
It just reeks of mysoginy, would not pass the Bechdel test in a million year, "main character" has no agency or close to none and when she does it ends up turning her into yet another damsel in distress. Obviously saved by a male god...
It feels like some horny teenager decided to draw her worst fantasy. Don't get me wrong, I'm all about terribly mysogynistic fantasies (where would be the fun otherwise) as long as they stay in your head !!! Teenagers do not need to be exposed to this.

Quel ennui ce tome 2 des sœurs Carmines…

Déjà de base j’ai beaucoup de mal avec la première personne du singulier mais quand le vice est poussé à son extrême avec un personnage aussi autocentré et arrogant que Tristabelle, autant dire que j’ai serré les dents très fort pour le finir. Et toutes ces invectives au lecteur… mon dieu mais laissez nous lire en paix ! Sincèrement j’aurais été ravie de voir Tristabelle mourir surtout si c’était aux mains de n’importe qui d’autre que Kat (elle sert à quoi?).
Si au moins les indices et rebondissements avaient été bien ficelés mais pour le coup nous avons droits à des milliers de pistes soulevées pour ne rien donner in fine (voir pour finir en absence total d’impact) uniquement pour servir à quelque mini détail, et les deux fois où il aurait été sympathique de tenter de deviner il y avait peu voir pas d’indices donnés, bon. Résultats Tristabelle s’en sort de manière complètement improbable et bien pratique à chaque fois, voir elle n’a même pas besoin de s’en sortir puisqu’il semble ne pas y avoir de conséquences pour la moitié de ses actes… hugh !

Sans surprise les seuls chapitres que j’ai appréciés étaient ceux autour de n’importe qui d’autre que Tristabelle puisqu’en plus de ne pas avoir à y souffrir de son arrogance d’une lourdeur insupportable c’était des chapitres écrits à la troisième personne, ouf ! J’imagine que cela montre bien tout l’intérêt de l’utilisation du « je » mais ça me reste indigeste.

La seule chose que j’ai apprécié dans les aventures de Tristabelle, c’était l’émeute causée pour une paire d’escarpins ! D’ailleurs ça me fait penser : quel gâchis de personnage que l’inspecteur Creusombre ! Il était pourtant prometteur en arch enemy mais non, il tombe amoureux et meure dans la foulée sans rien servir d’autre que de bouclier (bon au moins c’est un homme qui sert à faire évoluer un personnage féminin plutôt que l’habituel inverse).

Bref un livre lu parce qu’il le faut bien pour passer au tome trois et la cadette des sœurs je l’espère, les aptitudes de Dolorine m’intriguent vraiment. Les petits passages mignons sur Merryvere et Blaise m’ont fait sourire et j’ai été contente de retrouver la plume de Ariel Holz malgré cette insupportable utilisation de première personne du singulier ! (Non je ne m’en remets pas).

Ce livre est une pépite ! (Merci à ma collègue de me l’avoir recommandé)

Il mériterait que je revienne sur chacune de mes précédentes critiques et que je leur enlève une étoile car il plane au dessus de quasiment toutes les lectures que j’ai pu faire.

Comment dire, Flore Vesco est une génie de premier ordre. Serine et elle nous entraînent dans la cour du Roi Léo III et nous font découvrir les complots et bassesses des courtisans et de la Reine au rythme de mots magnifiquement choisis !

L’histoire est classique, famille de nobles en déperdition, le père meurt, l’aînée veut sauver l’honneur et doit s’enfuir pour se faire… Mais l’originalité de tout ça se trouve dans la personnalité même de Serine. Alors oui c’est encore une « not like the other girls » et les comparaisons incessantes avec les demoiselles d’honneurs auraient pu parfois être évités mais c’est là le seul écueil réel pour moi.

Serine évolue sous 2 identités dans ce roman et c’est d’autant plus malin qu’elle reste elle-même du début à la fin. Dans une première partie elle essaie de se plier à la vie à la cour telle qu’elle est mais déjà y détonne avec sa répartie et puis dans une deuxième partie, lasse de se faire malmenée elle y sèmera tout bonnement la zizanie. Le twist qui marque le passage de la première à la seconde partie est bien trouvé et inattendu et rend la lecture encore plus délectable.

Bien sûr certains dénouements sont un peu facile mais c’est un livre jeunesse et je ne lui en voudrait pas pour si peu, d’ailleurs j’ai apprécié les didascalies expliquant que les Lavandières et les Cuisiniers étaient des guildes qui gardaient jalousement leurs secrets de fabriques, quelle autre explication nous faudrait-il). Le suspens reste présent, le rythme haletant et l’humour d’une intelligence incroyable. Oui le twist final est gros comme une maison mais je ne pense pas que Flore Vesco ai voulu s’en cacher c’est plutôt le chemin pris vers ce dénouement qui était intéressant ! Et plus important encore les notions d’équités proposées et l’accent mis sur le dur labeur des petites gens d’une manière plutôt novatrice !

C’est rafraîchissant.

Hands down the best parenting book I’ve read so far.
It’s not just a collection of theories and tests on lab rats. Michaeleen actually shares with us her own experience as it went and is brutally honest. She also tells us about the things that worked with hindsight.
Granted it can feel a bit far fetched at first but so many of the stuff I’ve tried worked (even my husband’s gonna read it - he read zero parenting books since our first pregnancy… when I must have read a half a dozen!).
Not everything worked for us obviously but it also offers something else : it kicks this guilt feeling all the other books gave me right I’m the arse !