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emotional
reflective
tense
medium-paced
dark
emotional
reflective
tense
medium-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
N/A
Flaws of characters a main focus:
Complicated
Fascinating weaving of how ideological warfare toys people’s lives to leave trauma, and false image of love and dedication
One small joke changes the entire life around. A love story goes wrong and one's life turns into a political saga. The story also depicts the times in post war Czechoslovakia. Reminded me a bit of the time I was there as a child in the early 80's. A bit on the dark side and a bit opressive. All in all a realistic novel with all the things that can happen in life. A good read.
emotional
funny
reflective
relaxing
tense
medium-paced
ahhhhhHhhhHhhhhhHhhHhHhHhhHHhHhhhhhh.
the perfect book. i will teach myself czech and read it in the original. someday.
the perfect book. i will teach myself czech and read it in the original. someday.
As per usual with Kundera, I was hooked from the beginning. He has a way of making characters both exemplify a particular singular thought while also not making them be flat and one-sided. And Kundera's way of sneaking in truth and wisdom in between his exploration of politics and the absurdities of life is incredible. Thoroughly enjoyed this read. Highly recommended.
The Joke is Milan Kundera's first novel. Set against a backdrop of eastern europe during the communist regime it tells the story from the point of view three different people whose paths cross at different points in their lives. These chance encounters spur the characters to reflect on how their lives and those of the others have changed since the last time they met. As with many great authors Kundera'a prose is not only narrative but also philosophical, with thoughts and ideas interpreted through references to contemporary and past culture. This is especially poignant as the story passes through the height of the communist feeling of optimism that swept through eastern europe at the time. The themes of deception and self-deception are brilliantly woven into the story, which unfolds right up to the last page. A thought provoking book, if a little challenging at times.
Une histoire de rupture; temporelle, spirituelle et culturelle. Surtout l’absurdité de rassembler tous les morceaux.
Une simple blague est elle forcément inoffensive si telle en est l’intention ? L’Homme est ici réduit à sa propre condition à la fois superficiel, stupide et trop sérieux. Ludvik essaie tellement de réparer son « injustice » qu’il s’empoisonne dans sa vengeance absurde. Sa désillusion fait écho à celle de Jaroslav qui observe la perte de valeur d’un pays et qui se sent délaissée par son temps, par une nostalgie aussi paresseuse que fuyante. De même pour Kotska qui est très lucide mais sous couverts de nonchalance et de spiritualité, reste d’une lacheté sans nom. Enfin Helena et Lucie qui sont à la fois victime de la méchanceté inconditionnelle des hommes et maîtresse de leur libération ( plutôt réussie pour l’une et pas pour l’autre).
Aucune réparation n’est possible, mais : est ce si important finalement ? semble demander la plaisanterie. « Personne ne réparera les torts commis, mais tous les torts seront oubliés » répond de manière pragmatique Kundera. Vivre les choses pour ce qu’elles sont et non pas pour ce qu’elles étaient ou ce qu’elles seraient si. Rien n’est important dans la grande Histoire et pourtant chaque action dans son contexte est un séisme. Il nous revient de trouver notre place dans cet espace infini. Retrouver le sérieux, l’intention exacte de chaque action et en même temps rester léger.
Une simple blague est elle forcément inoffensive si telle en est l’intention ? L’Homme est ici réduit à sa propre condition à la fois superficiel, stupide et trop sérieux. Ludvik essaie tellement de réparer son « injustice » qu’il s’empoisonne dans sa vengeance absurde. Sa désillusion fait écho à celle de Jaroslav qui observe la perte de valeur d’un pays et qui se sent délaissée par son temps, par une nostalgie aussi paresseuse que fuyante. De même pour Kotska qui est très lucide mais sous couverts de nonchalance et de spiritualité, reste d’une lacheté sans nom. Enfin Helena et Lucie qui sont à la fois victime de la méchanceté inconditionnelle des hommes et maîtresse de leur libération ( plutôt réussie pour l’une et pas pour l’autre).
Aucune réparation n’est possible, mais : est ce si important finalement ? semble demander la plaisanterie. « Personne ne réparera les torts commis, mais tous les torts seront oubliés » répond de manière pragmatique Kundera. Vivre les choses pour ce qu’elles sont et non pas pour ce qu’elles étaient ou ce qu’elles seraient si. Rien n’est important dans la grande Histoire et pourtant chaque action dans son contexte est un séisme. Il nous revient de trouver notre place dans cet espace infini. Retrouver le sérieux, l’intention exacte de chaque action et en même temps rester léger.
dark
emotional
informative
reflective
medium-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Complicated
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Yes
dark
funny
reflective
medium-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
Complicated
Loveable characters:
Complicated
Diverse cast of characters:
N/A
Flaws of characters a main focus:
Yes
emotional
funny
slow-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
Complicated
Loveable characters:
Complicated
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Yes
far too slow and lacking the psychological substance that makes milan kundera incredible