Reviews

2666 by Roberto Bolaño

emegallego's review against another edition

Go to review page

5.0

Una "gran obra imperfecta, torrencial", como diría Amalfitano. Va directo a mi lista de favoritos. Es un universo, una novela en la que pasa mucho más de lo que caben en las mil y pico páginas que tiene. Nunca había leído a Bolaño en serio y me he enamorado de sus imágenes y de su humor. Me ha recordado al "Ulises" por ambicioso y a "Trilogía de la guerra" de Agustín Fernández Mallo por misterioso, pero lo he disfrutado mucho más.

matissrv's review against another edition

Go to review page

4.0

Šis gāja ilgi, krietni grūtāk nekā "Mežonīgie detektīvi". Līdzīgi kā toreiz – no mīlestības līdz naidam (4. nodaļa bija tik gara) un varbūt atpakaļ. Tomēr lielākais prieks, ka pēc kādu piecu(?) gadu pauzes atkal esmu piebeidzis tādu ķieģelīti.

rcaohn's review against another edition

Go to review page

5.0

Qué c*brón.

«—Vaya legado más misterioso, ¿no cree usted?»

alina_marcoci's review against another edition

Go to review page

challenging slow-paced
  • Plot- or character-driven? N/A
  • Strong character development? No
  • Loveable characters? No
  • Diverse cast of characters? It's complicated
  • Flaws of characters a main focus? No

3.0

alexandre_rl's review against another edition

Go to review page

4.0

Après deux mois de lecture, j'ai finalement terminé les 1345 pages qui composent "2666" de Roberto Bolaño. Par moments j'ai pensé à l'abandonner, je me suis découragé, j'ai trouvé que ça ne menait à rien... Mais quelque chose m'a toujours fait continuer, une sorte de souffle dans l'écriture qui l'empêche d'être pénible, même quand la recherche de sens n'est pas fructueuse.

Pour la petite histoire, le défunt Bolaño avait donné comme instruction de publier les cinq parties de "2666" indépendamment, mais sa succession a jugé de bon de passer outre ses directives et de faire paraître un unique pavé. Les cinq sections du roman peuvent en effet être lues seules. Les références sont présentes mais minimales. Ceci dit, l'oeuvre est conçue comme un tout et le réel plaisir provient des subtils échos entre les différents récits.

"2666", malgré sa structure expérimentale, n'est pas un livre difficile. Chaque section raconte sa propre histoire dans un style clair et accessible. Là où ça se complique, c'est dans la propension de Bolaño à se lancer dans de longues, très longues digressions à des moments peu opportuns. Par exemple: vous commencez à accrocher sur le récit d'un personnage. Ce personnage en rencontre un autre et paf, Bolaño se lance dans l'histoire de ce nouvel individu sur 150 pages avant de revenir à la trame principale. Au départ ça va, mais rendu à la page 800, on commence à s'impatienter.

Les cinq sections étant très différentes, à peu près tout le monde y trouvera son compte à un moment ou un autre... mais peu de gens seront enthousiastes tout le long. J'ai trouvé certains passages tout simplement géniaux, alors que d'autres me donnaient l'envie de les sauter tout simplement (envie à laquelle j'ai résisté mais de peine et de misère). Il faut également savoir qu'aucune des sections n'est fermée. Cinq histoires, cinq fins ouvertes. Certaines personnes trouveront cela terriblement frustrant.

La meilleure façon de lire "2666" est sans doute de se laisser porter. Se permettre d'être parfois concentré, parfois distrait, sans chercher à faire une première lecture trop intellectuelle et analytique. C'est le genre de livre qui peut être apprécié sur tous les plans et c'est ce qui en fait la richesse. Il peut être lu à coups de 10 minutes dans le métro ou décortiqué dans un cours de 45 heures. Il est peut-être plus facile de l'aborder comme cinq petits romans, comme on combat l'hydre une tête à la fois.

cunningba's review against another edition

Go to review page

5.0

A vast sprawling Pyncheonesque read

Engrossing many-threaded story with few neat endings. Many great characters kept drawing me in. The longest section, Part 4, a fast cutting litany of femicides leaves me with the idea that extending the idea of Murder on the Orient Express the killers may be an entire society.

maltestrik's review against another edition

Go to review page

dark mysterious sad tense slow-paced
  • Plot- or character-driven? A mix
  • Strong character development? No
  • Loveable characters? It's complicated
  • Diverse cast of characters? Yes
  • Flaws of characters a main focus? No

3.75

smusie's review against another edition

Go to review page

4.0

http://notesforwordlovers.blogspot.com/2010/04/fictional-feast.html

itssunnyand75's review against another edition

Go to review page

5.0

damn

beanpod's review against another edition

Go to review page

5.0

2666 is too sprawling to fit into one concise review. Let me just say the following:

1. Bolano is an incredible storyteller. His words, even in (masterful) translation, are amazingly descriptive and convey such depth.

2. Death, especially the murders of women in the fictional Juarez, provide mileposts throughout the novel and remind the reader of the gravity of the stories, but 2666 is no crime novel.

3. Be able to deal with the unresolved if you read this - stories, character arcs, etc.

4. I finished reading 2666 before I was pregnant with my first child. Thirty-three months have passed and Bolano's novel sticks to me still.