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challenging
dark
emotional
funny
mysterious
reflective
medium-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Complicated
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
Yes
Found the pacing slow and the time periods hard to follow. Some BEAUTIFUL lines, though
challenging
mysterious
reflective
slow-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
No
I've taken a few months to process this. I'll keep the rating the same as initially. It takes a long time to digest it all but the structure is unbelievably inventive, the prose captivating, the themamtic current still relavent today. A tour de force. 200 pages in the middle dragged a little, but the first 300 and the last 300 were perfect.
challenging
dark
emotional
reflective
sad
slow-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
Complicated
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
Complicated
challenging
reflective
slow-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
No
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
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Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Yes
I'm somewhat of the opinion that my 5 star rating of Underworld can be explained by cognitive dissonance in the sense that having read 800 odd pages ostensibly about baseball, a sport I don't really care for, seems quite dumb in an objective sense and so I've convinced myself that it was, in fact, a profound book - if only for the sake of mental alleviation.
The other part of me can recall some of the brilliant passages that were scattered throughout the book and some quite deep penetrations into the spirit of the text.
So to sum: even if I've deluded myself, I wholeheartedly recommend this book.
The other part of me can recall some of the brilliant passages that were scattered throughout the book and some quite deep penetrations into the spirit of the text.
So to sum: even if I've deluded myself, I wholeheartedly recommend this book.
challenging
dark
reflective
slow-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Complicated
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
Complicated
Je ne sais pas trop par où commencer. J'ai lu tellement de critiques élogieuses de ce roman, je l'ai vu sur tellement de listes des meilleurs romans du siècle, meilleurs romans américains, "Great American Novel", etc., que je suis surpris de l'avoir aussi profondément détesté. Je suis habitué de lire de longs livres pas toujours évidents, de faire de la recherche sur mes lectures, de ramer pour arriver jusqu'au bout, bref je me considère comme un lecteur difficile à vaincre mais Don DeLillo n'avait pas dit son dernier mot. Avec cette oeuvre d'un ennui mortel et d'une prétention désespérée, il a réussi à me donner l'envie d'arracher les pages pour les brûler dans le foyer.
On dit que ce roman est un sommet d'écriture pour DeLillo, qu'il n'a jamais autant maîtrisé la phrase, la narration, et on a même osé dire que c'était un "page turner". Un "page turner" peut-être, si l'on entend par là qu'on tourne les pages sans lire le texte pour se dépêcher d'arriver à la fin. Et son style, euh... disons qu'il faut aimer les adjectifs, parce que rare sont les noms qui n'en sont pas accompagnés. Un style tellement ampoulé que Marcel Proust aurait lui-même laissé tomber le livre à ses pieds en s'exclamant "Ah bin là tu pousses un peu quand même!"
"Outremonde", c'est le roman dit post-moderne poussé à son paroxysme au point d'en devenir la caricature. Les personnages sont tellement, mais tellement inintéressants qu'on leur souhaite du mal. Et pire encore, ils parlent tous pareil. Tous les personnages ont le même registre de langue, la même façon de s'exprimer, le même ton, ce qui rend les dialogues d'une platitude cauchemardesque.C'est comme écouter deux robots essayer de sonner comme des humains. Je ne compte plus le nombre de fois où je me suis dit "Ah non, il va encore se mettre à discourir!"
Pendant près de 900 pages, DeLillo se regarde écrire en se flattant le menton avec un sourire suffisant et en se disant "Maudit que je suis beau et que je suis bon. Je parle de la Guerre Froide, de baseball et de J. Edgar Hoover en plus, donc je touche à des sujets vraiment américains. Je suis en train d'écrire un chef-d'oeuvre." C'est vraiment l'impression qu'on a en lisant "Outremonde". Celle d'un écrivain qui est tellement convaincu de l'intelligence de ses artifices littéraires qu'il oublie de construire des personnages et de raconter une histoire.
Idéal si les somnifères ne font pas effet.
On dit que ce roman est un sommet d'écriture pour DeLillo, qu'il n'a jamais autant maîtrisé la phrase, la narration, et on a même osé dire que c'était un "page turner". Un "page turner" peut-être, si l'on entend par là qu'on tourne les pages sans lire le texte pour se dépêcher d'arriver à la fin. Et son style, euh... disons qu'il faut aimer les adjectifs, parce que rare sont les noms qui n'en sont pas accompagnés. Un style tellement ampoulé que Marcel Proust aurait lui-même laissé tomber le livre à ses pieds en s'exclamant "Ah bin là tu pousses un peu quand même!"
"Outremonde", c'est le roman dit post-moderne poussé à son paroxysme au point d'en devenir la caricature. Les personnages sont tellement, mais tellement inintéressants qu'on leur souhaite du mal. Et pire encore, ils parlent tous pareil. Tous les personnages ont le même registre de langue, la même façon de s'exprimer, le même ton, ce qui rend les dialogues d'une platitude cauchemardesque.C'est comme écouter deux robots essayer de sonner comme des humains. Je ne compte plus le nombre de fois où je me suis dit "Ah non, il va encore se mettre à discourir!"
Pendant près de 900 pages, DeLillo se regarde écrire en se flattant le menton avec un sourire suffisant et en se disant "Maudit que je suis beau et que je suis bon. Je parle de la Guerre Froide, de baseball et de J. Edgar Hoover en plus, donc je touche à des sujets vraiment américains. Je suis en train d'écrire un chef-d'oeuvre." C'est vraiment l'impression qu'on a en lisant "Outremonde". Celle d'un écrivain qui est tellement convaincu de l'intelligence de ses artifices littéraires qu'il oublie de construire des personnages et de raconter une histoire.
Idéal si les somnifères ne font pas effet.
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dark
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mysterious
reflective
sad