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turtletime's Reviews (265)
EDIT Mon horrible déception de Shatter Me m'a conduit à changer totalement de registre. Terminé les fausses dystopies et autres romans fantastiques aux triangles amoureux inutiles pendant un certain temps. Je me suis donc jetée sur un de mes cadeaux de Noël : "La vie est un arc-en-ciel" de Cecelia Ahern, auteure irlandaise que l'on connait de par son roman à succès "PS : I Love You". Résultat gagnant, c'est un énorme coup de coeur.
"La vie est un arc-en-ciel" nous raconte, de façon épistolaire; des lettres, des mails, des textos et autres messages la distance séparant Alex et Rosie, d'années en années. Les aléas de la vie, les devoirs qu'elle impose, les échecs qui changent le cours de tous les projets envisagés au cours de notre adolescence et ce, rien qu'à cause d'un simple problème. Des années à construire des vies qui ne leur correspondaient pas, des années à attendre, à ne pas faire le pas. Et au fil des pages, des lettres, de chaque mots de chaque personnage, on est entraîné dans leur longue aventure sans retour en arrière.
Trente années se sont écoulées durant ces quatre cent pages, trente années où Rosie nous fait part de ses chagrins, de ses rêves, de tous les choix qu'elle a à faire tout en prenant la bonne décision. Ses joies, ses peines, nous partageons les sentiments de la jeune femme qui devient attachante et adorablement touchante. Une femme courageuse, forte, j'ai apprécié son caractère qui, malgré les échecs qui s'enchaînent dans sa vie, elle ne cesse de garder espoir, elle a un rêve et elle y tient. En quelques sorte, le personnage de Rosie est une petite leçon de vie: tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir. Avec tous les messages personnels, on a l'impression de faire partie de la famille de Rosie, son père, sa mère, Kevin et Stephanie, son frère et sa sœur qui sont un pilier pour ce personnage principal.
Comment ne pas mentionner Alex, le meilleur ami de Rosie depuis sa tendre enfance. La vie les éloigne, la vie les rapproche, un fossé social se creuse mais leurs sentiments ne cessent de croître. Comme Rosie, il enchaîne les échecs, de son côté plus sentimentalement que professionnellement, mais il avance, comme il peut, comme il veut. Je ne compte pas le nombre de fois où j'aurais voulu lui mettre quelques gifles afin de le réveiller, mais passons.
Petite anecdote que j'ai apprécié, entre les disputes et les rigolades de nos deux héros se trouve Katie, la fille de Rosie qui suit le même chemin que sa mère au fil de l'histoire avec Toby, son meilleur ami, inséparables. Une fois de plus Rosie se montre être une mère exemplaire qui consacre sa vie au bonheur des autres, en particulier sa fille.
Une plume simple, efficace et fluide ! Ceci est le premier roman de Cecelia que je lis et je pense me pencher très prochainement sur un de ses autres ouvrages. Il ne faut pas s'attendre à l'exception, mais il est touchant et plaisant à lire.
"La vie est un arc-en-ciel" nous raconte, de façon épistolaire; des lettres, des mails, des textos et autres messages la distance séparant Alex et Rosie, d'années en années. Les aléas de la vie, les devoirs qu'elle impose, les échecs qui changent le cours de tous les projets envisagés au cours de notre adolescence et ce, rien qu'à cause d'un simple problème. Des années à construire des vies qui ne leur correspondaient pas, des années à attendre, à ne pas faire le pas. Et au fil des pages, des lettres, de chaque mots de chaque personnage, on est entraîné dans leur longue aventure sans retour en arrière.
Trente années se sont écoulées durant ces quatre cent pages, trente années où Rosie nous fait part de ses chagrins, de ses rêves, de tous les choix qu'elle a à faire tout en prenant la bonne décision. Ses joies, ses peines, nous partageons les sentiments de la jeune femme qui devient attachante et adorablement touchante. Une femme courageuse, forte, j'ai apprécié son caractère qui, malgré les échecs qui s'enchaînent dans sa vie, elle ne cesse de garder espoir, elle a un rêve et elle y tient. En quelques sorte, le personnage de Rosie est une petite leçon de vie: tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir. Avec tous les messages personnels, on a l'impression de faire partie de la famille de Rosie, son père, sa mère, Kevin et Stephanie, son frère et sa sœur qui sont un pilier pour ce personnage principal.
Comment ne pas mentionner Alex, le meilleur ami de Rosie depuis sa tendre enfance. La vie les éloigne, la vie les rapproche, un fossé social se creuse mais leurs sentiments ne cessent de croître. Comme Rosie, il enchaîne les échecs, de son côté plus sentimentalement que professionnellement, mais il avance, comme il peut, comme il veut. Je ne compte pas le nombre de fois où j'aurais voulu lui mettre quelques gifles afin de le réveiller, mais passons.
Petite anecdote que j'ai apprécié, entre les disputes et les rigolades de nos deux héros se trouve Katie, la fille de Rosie qui suit le même chemin que sa mère au fil de l'histoire avec Toby, son meilleur ami, inséparables. Une fois de plus Rosie se montre être une mère exemplaire qui consacre sa vie au bonheur des autres, en particulier sa fille.
Une plume simple, efficace et fluide ! Ceci est le premier roman de Cecelia que je lis et je pense me pencher très prochainement sur un de ses autres ouvrages. Il ne faut pas s'attendre à l'exception, mais il est touchant et plaisant à lire.
Si vous êtes fan de mythologie, et en particulier la mythologie nordique, ce livre est pour vous ! Si vous aimez Loki, ce dieu fripon, ce livre est –encore une fois- pour vous ! Non mais, qu’on se le dise il est fantastique, magique, tellement bien écrit, tellement bien décrit. Cet ouvrage de Joanne Harris saura satisfaire les adeptes de la Loki’s Army.
Divisée en quatre petites histoires de onze chapitres (nommées « Leçons »), nous parcourons toute la mythologie nordique sous le point de vue interne de Loki, originaire du Chaos ; de son recrutement à Asgard de par ses exploits pour le compte du père de toutes choses, le borgne Odin en passant par sa trahison jusqu’à l’enfer du Ragnarok, symbole de l’Apocalypse.
Ce roman est magique, un écriture fluide, attachante, agréable à lire sans s'en lasser. Le sarcasme et la malice de Loki est présente entre les lignes, il est si reconnaissable, sa personnalité semblable au Loki que j'imagine. (à tel point que la voix de Tom Hiddleston résonnait dans ma tête) Mais c'était fantastique, en un livre on apprend les bases de la mythologie nordique en insistant bien sur la vision propre de Loki, ses émotions, sa manière de considérer les évènements.
Loki prend les choses avec une légèreté qui nous fait apprécier le roman de sa première page jusqu'à la fin. Quitte à trahir, manipuler, duper, user de ses pouvoirs, le dieu fourbe trouve toujours la solution aux problèmes, il n'éprouve aucune pitié et c'est comme ça qu'on l'aime ! Il ne change pas, le fils de Laufey est bien là !
Joanne Harris a trouvé les bons mots pour faire vivre l'histoire. Elle nous apporte un visuel resplendissant tout en conservant la fidélité du mythe. Sa plume nous aide à imaginer correctement les moindres détails et est très compréhensible à lire pour les non-anglophones comme moi. On le savoure tellement qu'on n'a pas envie de le terminée; on est envoûté par sa poésie, par la narration de Loki. The Gospel Of Loki nous transporte dans un univers à la fois étrange et magique dans lequel malgré l'affrontement entre l'Ordre et le Chaos, on ne veut plus en sortir.
Il existe une suite post-Ragnarok du nommé Runemarks et Runelight que je lirai plus tard, une fois mes autres lectures de terminées. Loki n'a décidément pas fini de faire parler de lui et on en demande encore plus.
Divisée en quatre petites histoires de onze chapitres (nommées « Leçons »), nous parcourons toute la mythologie nordique sous le point de vue interne de Loki, originaire du Chaos ; de son recrutement à Asgard de par ses exploits pour le compte du père de toutes choses, le borgne Odin en passant par sa trahison jusqu’à l’enfer du Ragnarok, symbole de l’Apocalypse.
Ce roman est magique, un écriture fluide, attachante, agréable à lire sans s'en lasser. Le sarcasme et la malice de Loki est présente entre les lignes, il est si reconnaissable, sa personnalité semblable au Loki que j'imagine. (à tel point que la voix de Tom Hiddleston résonnait dans ma tête) Mais c'était fantastique, en un livre on apprend les bases de la mythologie nordique en insistant bien sur la vision propre de Loki, ses émotions, sa manière de considérer les évènements.
Loki prend les choses avec une légèreté qui nous fait apprécier le roman de sa première page jusqu'à la fin. Quitte à trahir, manipuler, duper, user de ses pouvoirs, le dieu fourbe trouve toujours la solution aux problèmes, il n'éprouve aucune pitié et c'est comme ça qu'on l'aime ! Il ne change pas, le fils de Laufey est bien là !
Joanne Harris a trouvé les bons mots pour faire vivre l'histoire. Elle nous apporte un visuel resplendissant tout en conservant la fidélité du mythe. Sa plume nous aide à imaginer correctement les moindres détails et est très compréhensible à lire pour les non-anglophones comme moi. On le savoure tellement qu'on n'a pas envie de le terminée; on est envoûté par sa poésie, par la narration de Loki. The Gospel Of Loki nous transporte dans un univers à la fois étrange et magique dans lequel malgré l'affrontement entre l'Ordre et le Chaos, on ne veut plus en sortir.
Il existe une suite post-Ragnarok du nommé Runemarks et Runelight que je lirai plus tard, une fois mes autres lectures de terminées. Loki n'a décidément pas fini de faire parler de lui et on en demande encore plus.
EDIT Alors que dire... tout d'abord que j'ai été tentée par les échos, qui me disaient que ce livre était poétique, fascinant, troublant. Au final 379 pages sur 379 où je me suis retrouvée avec une plume plate, sans émotions, des actions brèves racontées en actions longues et des péripéties sans intérêt. Une littérature qu'on ne peut appeler Young Adult puisque qu'elle n'est pas digne de ce nom. (ou suis-je trop vieille pour lire ce genre littéraire ?)
L'histoire est racontée sous le point de vue de Juliette, une jeune fille de dix-sept ans qui ne sait plus à quoi elle ressemble, qui ne peut toucher personne au risque de les tuer et qui ne cesse de dire qu'elle est un monstre sur deux tiers du livre. Par le plus grand des hasards, Adam, "celui qu'elle aime en secret depuis l'enfance vient partager sa cellule". Elle est plus ou moins sous l'emprise de Warner, qui est passionné par la jeune femme, par son pouvoir, par elle, bref... dès le résumé on sent un triangle amoureux qui va peser tout au long de l'histoire.
En quelques mots, Ne me touche pas n'est autre qu'un copier coller des super-héros de Marvel, les X-Men, ajouté à ça une dose d'amour niais version Twilight et un univers inutile post-apocalyptique du type Hunger Games (autant dire que si le roman se déroulait dans un champ de blé, la différence ne serait pas flagrante) et c'est ce qu'il manque dans cette histoire, de l'originalité, tout est déjà vu et on tourne en rond, tout est mou. On attend et on espère se retrouver avec des rebondissements surprenants et au final à la dernière page de l'ouvrage ma première pensée ait été de me demander s'il s'agissait d'un best seller parodique ou si l'auteure était réellement sérieuse en écrivant ceci ?
Quant à sa plume, répétitive, brève, un énorme manque de phrases complexes, très pauvre. Des phrases, des mots barrés devant apporter une touche différente de ce qu'on a vu, et pourtant reste inutile ! Ce roman n'est pas une dystopie, c'est un roman digne des éditions Harlequin avec des métaphores qui n'ont aucun sens. Du romantisme pur et dur et une parfaite berceuse pour tous les insomniaques endurcis.
Les personnages. Juliette la protagoniste est niaise, insupportable et parfaitement détestable. Elle est une pauvre victime comme toutes les pseudos histoires Young Adult avec de la niaiserie 379 pages sur 379. Le fait que l'histoire ait été racontée sous son point de vue fait qu'on peut soit l'adorer, soit la détester, hors en plus de la narration au présent je n'ai pu entrer dans le personnage, je n'ai pu ressentir ses émotions tant elles étaient fades et les descriptions pauvres. "C'est une pièce exiguë avec une cuvette de toilette, un lavabo, un miroir et une douche minuscule. J'adore l'ensemble", une des nombreuses citations dont lesquelles j'ai du relire une dizaine de fois pour être certaine d'être sûre de ce que je lisais. Une véritable Mary-Sue, désirée de tout le monde, référence à tous les ouvrages de la sorte.
Adam aurait pu être un personnage intéressant... mais non. Il est là pour être l'espoir de Juliette, le prince charmant, son Roméo qui vient la sauver dans la plus haute salle de la plus haute tour (ah comme quoi, même dans les dystopies y a des contes de fées niais...). Au début il donne un aspect sarcastique, intriguant, et puis le romantisme l'emporte à nouveau, Tahereh Mafi s'est égarée dans son écrit et dans le caractère de ses personnages qui se ressemblent tous à des différences minimes près.
Et puis Warner, l'antagoniste qu'on déteste. OUI, mais on le déteste parce qu'il est amoureux de Juliette ! Son côté méchant et son désir de tuer est super, vraiment, j'avais l'espoir qu'il soit ce personnage qui me ferait apprécier ne serait-ce qu'un peu ce roman. Et sa passion pour la jeune femme n'est autre qu'une allégorie au sado-masochisme puisque monsieur réclame de nombreuses fois à être touché. Il avait tout pour être dans la "liste" des vilains qu'on adore, à croire que Tahereh Mafi préfère écrire Juliette et les garçons dans un monde bisounours post-apocalyptique.
Pour conclure, lire du X-Men pseudo romantique avec un triangle amoureux à la Twilight, trop peu pour moi ! Je ne continuerai pas le roman et me suis forcée à le lire en raison du prix exorbitant. Ma surprise a été de retrouver Charles Xavier, et deux des Quatre Fantastiques, à la place de Marvel je n'aurais pas hésité à porter plainte pour plagiat, mais le succès et la réussite des comics étant d'innombrables fois plus hautes que Ne Me Touche Pas, qu'ils ont d'autres chats à fouetter et tant mieux pour l'auteure.
L'histoire est racontée sous le point de vue de Juliette, une jeune fille de dix-sept ans qui ne sait plus à quoi elle ressemble, qui ne peut toucher personne au risque de les tuer et qui ne cesse de dire qu'elle est un monstre sur deux tiers du livre. Par le plus grand des hasards, Adam, "celui qu'elle aime en secret depuis l'enfance vient partager sa cellule". Elle est plus ou moins sous l'emprise de Warner, qui est passionné par la jeune femme, par son pouvoir, par elle, bref... dès le résumé on sent un triangle amoureux qui va peser tout au long de l'histoire.
En quelques mots, Ne me touche pas n'est autre qu'un copier coller des super-héros de Marvel, les X-Men, ajouté à ça une dose d'amour niais version Twilight et un univers inutile post-apocalyptique du type Hunger Games (autant dire que si le roman se déroulait dans un champ de blé, la différence ne serait pas flagrante) et c'est ce qu'il manque dans cette histoire, de l'originalité, tout est déjà vu et on tourne en rond, tout est mou. On attend et on espère se retrouver avec des rebondissements surprenants et au final à la dernière page de l'ouvrage ma première pensée ait été de me demander s'il s'agissait d'un best seller parodique ou si l'auteure était réellement sérieuse en écrivant ceci ?
Quant à sa plume, répétitive, brève, un énorme manque de phrases complexes, très pauvre. Des phrases, des mots barrés devant apporter une touche différente de ce qu'on a vu, et pourtant reste inutile ! Ce roman n'est pas une dystopie, c'est un roman digne des éditions Harlequin avec des métaphores qui n'ont aucun sens. Du romantisme pur et dur et une parfaite berceuse pour tous les insomniaques endurcis.
Les personnages. Juliette la protagoniste est niaise, insupportable et parfaitement détestable. Elle est une pauvre victime comme toutes les pseudos histoires Young Adult avec de la niaiserie 379 pages sur 379. Le fait que l'histoire ait été racontée sous son point de vue fait qu'on peut soit l'adorer, soit la détester, hors en plus de la narration au présent je n'ai pu entrer dans le personnage, je n'ai pu ressentir ses émotions tant elles étaient fades et les descriptions pauvres. "C'est une pièce exiguë avec une cuvette de toilette, un lavabo, un miroir et une douche minuscule. J'adore l'ensemble", une des nombreuses citations dont lesquelles j'ai du relire une dizaine de fois pour être certaine d'être sûre de ce que je lisais. Une véritable Mary-Sue, désirée de tout le monde, référence à tous les ouvrages de la sorte.
Adam aurait pu être un personnage intéressant... mais non. Il est là pour être l'espoir de Juliette, le prince charmant, son Roméo qui vient la sauver dans la plus haute salle de la plus haute tour (ah comme quoi, même dans les dystopies y a des contes de fées niais...). Au début il donne un aspect sarcastique, intriguant, et puis le romantisme l'emporte à nouveau, Tahereh Mafi s'est égarée dans son écrit et dans le caractère de ses personnages qui se ressemblent tous à des différences minimes près.
Et puis Warner, l'antagoniste qu'on déteste. OUI, mais on le déteste parce qu'il est amoureux de Juliette ! Son côté méchant et son désir de tuer est super, vraiment, j'avais l'espoir qu'il soit ce personnage qui me ferait apprécier ne serait-ce qu'un peu ce roman. Et sa passion pour la jeune femme n'est autre qu'une allégorie au sado-masochisme puisque monsieur réclame de nombreuses fois à être touché. Il avait tout pour être dans la "liste" des vilains qu'on adore, à croire que Tahereh Mafi préfère écrire Juliette et les garçons dans un monde bisounours post-apocalyptique.
Pour conclure, lire du X-Men pseudo romantique avec un triangle amoureux à la Twilight, trop peu pour moi ! Je ne continuerai pas le roman et me suis forcée à le lire en raison du prix exorbitant. Ma surprise a été de retrouver Charles Xavier, et deux des Quatre Fantastiques, à la place de Marvel je n'aurais pas hésité à porter plainte pour plagiat, mais le succès et la réussite des comics étant d'innombrables fois plus hautes que Ne Me Touche Pas, qu'ils ont d'autres chats à fouetter et tant mieux pour l'auteure.
3,5/5.
That's a good sequel, the universe of the Furnance penitentiary is still creepy and scary. We've got some answers who help us to understand the story and i liked how we don't have time to breathe, there's action everytime.
Buuuut what bothers me was Alex, even if what happened to him is horrible (i won't say because spoilers) i just dislike the fact he feels like "he's the only one who can save everyone", and yup he's the protagonist but still it put the other main characters (Zee and Simon) on the background, it's a thing that annoy me a lot on stories. Anyway, cannot wait to read book 4.
That's a good sequel, the universe of the Furnance penitentiary is still creepy and scary. We've got some answers who help us to understand the story and i liked how we don't have time to breathe, there's action everytime.
Buuuut what bothers me was Alex, even if what happened to him is horrible (i won't say because spoilers) i just dislike the fact he feels like "he's the only one who can save everyone", and yup he's the protagonist but still it put the other main characters (Zee and Simon) on the background, it's a thing that annoy me a lot on stories. Anyway, cannot wait to read book 4.
Honestly if I could note 0,5 i would do it without hesitation.
Omg this is the worst book i've read this year i think.
First, when i've seen the cover i was kinda interesting, they said it was a "Cloud Atlas meets Orphan Black" and i love both movie/tv shows but let me clear some things :
- This is an insult for Cloud Atlas and the Wachowskis.
- This is an insult for Orphan Black.
- This is an insult for Star Wars (okay now you know Claudia Gray is going to write The Force Awakens tie-in.)
There is absolutely NO PLOT but when i say no plot, i mean really, no plot. Nothing happens, the actions are slow, there's nothing captivating. Marguerite Caine is a poor naive and stupid main character seriously and oh hell she's different, you're perfect blablablah meh this kind of things is starting to annoying me.
And what's the surprise, love parallelogram, no really what's the point in this interdimensional love ? I didn't even get it, this is almost 80% of the story and the more boring it was, the more i read this book at night before i sleep how soporific it is.
Can we talk about Paul and Theo ? No it's a waste of time because there's no character developement.
This is poorly written, Marguerite POV wasn't the most interesting for the story, she's an silly and marysue character. I feel like i read this book but I waste my time..
The first book of the firebird series could have been much better if Claudia Gray didn't focused her story on a boring love story instead of the real plot with interesting scenes.
First and last time i read one of her books.(well i'll give a try for the star wars tie-in because i'm a star wars obsessed girl but still)
Omg this is the worst book i've read this year i think.
First, when i've seen the cover i was kinda interesting, they said it was a "Cloud Atlas meets Orphan Black" and i love both movie/tv shows but let me clear some things :
- This is an insult for Cloud Atlas and the Wachowskis.
- This is an insult for Orphan Black.
- This is an insult for Star Wars (okay now you know Claudia Gray is going to write The Force Awakens tie-in.)
There is absolutely NO PLOT but when i say no plot, i mean really, no plot. Nothing happens, the actions are slow, there's nothing captivating. Marguerite Caine is a poor naive and stupid main character seriously and oh hell she's different, you're perfect blablablah
Spoiler
she's like the choosen one you're not like the others...And what's the surprise, love parallelogram, no really what's the point in this interdimensional love ? I didn't even get it, this is almost 80% of the story and the more boring it was, the more i read this book at night before i sleep how soporific it is.
Can we talk about Paul and Theo ? No it's a waste of time because there's no character developement.
This is poorly written, Marguerite POV wasn't the most interesting for the story, she's an silly and marysue character. I feel like i read this book but I waste my time..
The first book of the firebird series could have been much better if Claudia Gray didn't focused her story on a boring love story instead of the real plot with interesting scenes.
First and last time i read one of her books.

Les mots pour exprimer à quel point j'ai été en admiration sur ce roman seront faibles par rapport à ce que je ressens.
Publié par Jojo Moyes, auteure britannique, nous suivons le parcours de Louisa (Lou) Clark, vingt-six ans, une jeune femme vivant avec sa famille et appartenant à la classe populaire; de la perte de son job en tant que serveuse jusqu'à la fin de son nouveau contrat de travail : s'occuper de Will Traynor, un trentenaire tétraplégique.
"Avant Toi" est comme une bouffée d'air, comme une claque ou un assemblement des deux. Toutes les émotions sont là, du rire aux larmes.
L'histoire est dans une grande partie racontée sous le point de vue de Lou (avec quelques chapitres au milieu d’événements des racontées par les personnages secondaires) et le moins que l'on puisse dire est qu'elle est une femme forte, mature -et tant mieux, au vu de son âge-, elle agit naturellement, instinctivement. Elle prend rapidement conscience de ce qui lui arrive, elle pense positivement malgré le pessimisme de tout le monde qui l'entoure.
Et que serait l'histoire sans Will ? Un vrai coup de cœur ! (à se demander si les "Will" ne possèdent pas un type de philtre d'amour pour que l'on soit immédiatement attaché à eux !) Will reste un personnage sarcastique dans lequel se cache un caractère fragile pensant au bonheur des autres que du sien qu'il juge sans espoir.
Différents thèmes sont abordés dans l'histoire : le handicap, l'euthanasie, le suicide, le bonheur, l'amour, le travail, l'assistance... Tout un assemblement de choses qui ne font que rappeler que les dures réalités de la vie ne sont qu'échec et réussite.
Il ne faut pas oublier l'importance des personnages secondaires qui ont leur importance dans le destin de Will et Lou, ceux qui les aident à prendre les décisions qu'il faut, des piliers !
Quant à la plume j'y reviens, elle n'est pas négligée, au contraire ! Jojo Moyes affiche un point de vue de Lou très intéressant, on peut l'imaginer raconter son histoire devant une feuille de papier des années plus tard, personnellement je me voyais en face d'elle à écouter attentivement son aventure, son récit.
"Avant Toi" rappellera à beaucoup de monde le fantastique film "Intouchables", de par le coté handicap mais également la condition sociale de chaque personnage (Driss et Lou vivent dans un milieu difficile tandis que Philippe et Will sont deux tétraplégiques désespérés et ne manquant de rien financièrement, mais chacun essaye de rendre heureux l'autre par ses propres moyens.)
En conclusion, il ne faut pas passer à côté si vous aimez les histoires avec une leçon de vie !
Publié par Jojo Moyes, auteure britannique, nous suivons le parcours de Louisa (Lou) Clark, vingt-six ans, une jeune femme vivant avec sa famille et appartenant à la classe populaire; de la perte de son job en tant que serveuse jusqu'à la fin de son nouveau contrat de travail : s'occuper de Will Traynor, un trentenaire tétraplégique.
"Avant Toi" est comme une bouffée d'air, comme une claque ou un assemblement des deux. Toutes les émotions sont là, du rire aux larmes.
L'histoire est dans une grande partie racontée sous le point de vue de Lou (avec quelques chapitres au milieu d’événements des racontées par les personnages secondaires) et le moins que l'on puisse dire est qu'elle est une femme forte, mature -et tant mieux, au vu de son âge-, elle agit naturellement, instinctivement. Elle prend rapidement conscience de ce qui lui arrive, elle pense positivement malgré le pessimisme de tout le monde qui l'entoure.
Et que serait l'histoire sans Will ? Un vrai coup de cœur ! (à se demander si les "Will" ne possèdent pas un type de philtre d'amour pour que l'on soit immédiatement attaché à eux !) Will reste un personnage sarcastique dans lequel se cache un caractère fragile pensant au bonheur des autres que du sien qu'il juge sans espoir.
Différents thèmes sont abordés dans l'histoire : le handicap, l'euthanasie, le suicide, le bonheur, l'amour, le travail, l'assistance... Tout un assemblement de choses qui ne font que rappeler que les dures réalités de la vie ne sont qu'échec et réussite.
Il ne faut pas oublier l'importance des personnages secondaires qui ont leur importance dans le destin de Will et Lou, ceux qui les aident à prendre les décisions qu'il faut, des piliers !
Quant à la plume j'y reviens, elle n'est pas négligée, au contraire ! Jojo Moyes affiche un point de vue de Lou très intéressant, on peut l'imaginer raconter son histoire devant une feuille de papier des années plus tard, personnellement je me voyais en face d'elle à écouter attentivement son aventure, son récit.
"Avant Toi" rappellera à beaucoup de monde le fantastique film "Intouchables", de par le coté handicap mais également la condition sociale de chaque personnage (Driss et Lou vivent dans un milieu difficile tandis que Philippe et Will sont deux tétraplégiques désespérés et ne manquant de rien financièrement, mais chacun essaye de rendre heureux l'autre par ses propres moyens.)
En conclusion, il ne faut pas passer à côté si vous aimez les histoires avec une leçon de vie !
I'm going to live in an asylum right now. This book drives me totally crazy OH MY GOD!!!!
Wow, tout simplement. Ce livre est rempli d'émotions, il nous fait apprendre beaucoup de choses sur la maladie d'Alzheimer que je ne connaissais pas, mais aussi les aprioris, comment vivre avec une personne qui en est atteinte, comment supporter la maladie. Le soutien familial, le rejet, le regard des autres. Alice est un personnage tellement attachant qu'on ne peut s'empêcher de la soutenir jusqu'au bout. Je recommande ce livre à tout le monde un véritable bijou. ♥